Entretien avec Sotiris Martalis, après le vote au parlement grec (les 15-16 juillet 2015) de la première série de réformes exigées par l'Eurogroupe. Peu avant, 109 membres du Comité central de Syriza avaient signé une déclaration qui s'opposait à cet accord avec l'Eurogroupe. Lors du vote, 39 députés de Syriza (parmi les 300 membres du parlement grec, il y a 149 députés Syriza ) ont consigné leur opposition.
Soritis Martalis est membre du Comité Central de Syriza et de DEA (Gauche ouvrière internationaliste).
lundi 27 juillet 2015
dimanche 5 juillet 2015
Réfugiés : refoulement en masse
A quoi doit-on l'acharnement des États européens à refouler les migrants aux portes de l'Europe ?
"Non seulement au besoin vital qu’ont les entreprises européennes de
rafler les ressources naturelles de ces territoires et de disposer de
nouveaux et importants contingents de travailleurs à bas coûts et
dépourvus de tous droits, mais aussi au besoin qu’ont les Etats
européens de continuer à réprimer directement, avec toute la
férocité et la ruse des anciens pouvoirs coloniaux – puisque les Sisi,
les monarques pétroliers, les Assad et tout le reste ne suffisent pas à
cette tâche –, l’insurrection des masses arabes. Insurrections qui, ces
dernières années, se sont propagées de la Tunisie et de l’Égypte
jusqu’au Bahreïn, au Yémen, à la Syrie, aux zones des monarchies
pétrolières ; à la nécessité d’étouffer dans le sang toute tentative de
résistance un tant soit peu anti-impérialiste, et de barrer le chemin
aux anciens et aux nouveaux concurrents de l’Europe."
A travers son article "Une farce qui sent la guerre ou plutôt : les guerres", Pietro Basso dénonce les réunions qui se sont tenues entre les différents États suite aux naufrages en mer Méditerannée de 2015.
A travers son article "Une farce qui sent la guerre ou plutôt : les guerres", Pietro Basso dénonce les réunions qui se sont tenues entre les différents États suite aux naufrages en mer Méditerannée de 2015.
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