dimanche 13 novembre 2022

Exposition de l'artiste ukrainienne révolutionnaire Katya Gritseva aux Clameurs, à partir du 26 novembre (Lyon)

 Exposition aux Clameurs, en présence de l'artiste Katya Gritseva le 26 novembre 2022, à partir de 19h, lors d'une soirée de solidarité avec le peuple ukrainien (interventions militantes et musique urkanienne et bélarus).

L'exposition restera aux Clameurs, jusqu'au 17 décembre 2022.

Les Clameurs : 23 rue d'Aguesseau 69007 Lyon. Métro : Guillotière


 
 

mardi 8 novembre 2022

Sauver Maksym Butkevych : il y a urgence !


Il arrive qu’une cause soit en même temps d’une urgence vitale immédiate pour une personne et qu’elle représente toute une situation politique et toute une histoire, tout le combat de la vérité humaine contre le mensonge déconcertant. C’est le cas de Maksym Butkevych. 

Maksym Butkevych est aujourd’hui un prisonnier de l’armée russe, sans doute quelque part dans l’oblast de Louhansk occupé. Prisonnier de guerre, donc, mais en même temps menacé depuis sa capture, le 24 juin, d’être victime d’un procès stalinien en 2022, un procès stalinien si typique du poutinisme, de ce que les Ukrainiens appellent aujourd’hui le « rashisme ». Car sitôt prisonnier, ils l’ont exhibé sur une vidéo – il ne dit rien – en le présentant comme un « nazi », de l’espèce la plus redoutable. Fin août, nous l’avons revu dans une autre vidéo de propagande, parmi d’autres prisonniers auxquels on « permet » de téléphoner chez eux, sous la caméra russe. Il fait partie de ceux qui ne disent rien, ne font rien – ses cheveux ont blanchi en un mois et demi. Mais on pouvait supposer qu’au moins, cette vidéo indiquait qu’il était considéré comme un prisonnier de guerre, ce qu’il est, et non comme un « nazi » très dangereux. Depuis, cependant, il semble que les forces d’occupation pensent toujours à monter un "procès".


mercredi 2 novembre 2022

Iran :  Vers un soulèvement généralisé ?


Par Behrooz Farahany 14/10/2022

source : http://www.iran-echo.com/echo_pdf/15102022.pdf

En Iran, le bilan de la répression était, au 13 octobre, de plus de 200 mortEs (dont 23 enfants de 7 à 14 ans), des centaines de blesséEs et des milliers d’arrestations. Malgré cela, le mouvement s’est étendu aux lycées, et à certains secteurs du salariat.